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C’est pas moi, c’est lui !
29/07/2010 11:47
Un cadre administratif s’exprime dans
la Voix
du Nord. Sur la forme, une position, prise par tous les anciens « beni oui –oui » de l’ère Dalongeville, aura retenue notre attention. On peut la résumer ainsi : « c’est pas moi, c’est lui ! ». Un véritable plaidoyer de dédouanement dans le cadre de l’actuelle affaire du Stade Héninois. Une association parmi d’autres (
la Carpe Héninoise
par exemple), qui aura fait les frais de l’inconséquence d’un système savamment implanté. Quelques cadres, ont très vite préféré partir plutôt que de se renier. Mais d’autres, la grande majorité, ont préféré poursuivre sans panache. Ce cadre là, dans sa direction d’origine, a eu deux prédécesseurs qui se sont très vite désistés. Lui, il est venu, il a vu et, à l’instar de beaucoup de ses pairs, il est resté depuis… CQFD
Le comité local héninois
Commentaire de cimares (04/08/2010 19:22) :
Au risque de me répéter, mais ce qui est arrivé à Hénin pourrait aussi se
produire en d'autres collectivités de notre département.
A force de nier l'identité d'une véritable administration
territoriale, on en est arrivé à un galimatia d'employés territoriaux
ne disposant que peu de culture administrative, mais cultivant
exclusivement la personnalité des élus.
Or s'il convient de rappeler que le maire est le patron d'une
commune, le directeur général est le responsable des services et doit
veiller à ce que ces derniers travaillent dans le respect des règles de
droit. C'est tout l'honneur et la difficulté de la fonction.
C'est d'ailleurs pour cette raison que le terme de directeur
général a remplacé celui de secrétaire général.
Alors, il y a des progres à conduire, et pas seulement du coté des cadres,
mais aussi des employés et naturellement des élus
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Commentaire de DLR14ème Canal Historique (05/08/2010 08:48) :
Cher Cimarés, en aucun cas je ne vous trouve redondant. Nous sommes
entièrement en accord avec cette vérité que vous, et nous n'avons de
cesse de rappeler. Content de vous retrouver chez nous où votre absence se
faisait cruellement ressentir.
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